Fly-49 a écrit :Bonjour
Au delà du problème technique de conception, il faut avant tout réfléchir a l'avenir du contenu. Aller étaler ça discrètement dans un sous bois ou au coin d'un champ à la nuit tombée c'est pas sérieux car c'est un manque de respect pour le propriétaire ou les gens qui y travaillent, idem pour les poubelle d'ordure ménagère, pas très sympa pour le rippeur de se retrouver avec quelques Kg de colombins affinés a point par le soleil en train de se faire malaxer dans la benne a ordure.
Je vois ce que tu veux dire,
Par exemple il y a ceci : étant donné que c'est "sec" d'où le nom toilettes seches, il y a beaucoup moins la question de "putréfaction" au contraire.
Ca ressemble plus à la litière du chat. Donc pour les poubelles, tant que c'est ajouté à des poubelles de grosse taille. Je ne vois pas le souci de ceux qui manipuleraient.
C'est sure que ma vision la plus "noble" de l'avenir de tout ça, serait que ça finisse dans le coin compost des amis que je visite (oui j'ai beaucoup d'amis et la plupart ont des compost à toilette seches, ça tombe bien), car on sait qu'un compost à toilette seche demande 1 an avant de pouvoir être utilisé.
Ne pas mélanger avec le compost normal des épluchure. Car le cycle de celui-là est plus rapide.
Sinon quand je parlais de bois. Et bien, je pense qu'on est tous capable de trouver un coin où il est évident que personne ne passe années après années. Que ça soit un bosquet de ronces, etc... et comme je rappelle que c'est sec. Et bien, ça n'a pas le même pouvoir "pénétrant" que le pipi/popo direct sur le sol, justement parce que c'est d'abord absorbé par la sciure, ça entre ensuite naturellement en décomposition comme tout ce qui terminer au sol dans les foret, capa/pipi des animaux, carcasses d'animaux mort, etc, tout cela n'est pas sale. C'est la nature. C'est sure qu'un peu de civisme est nécéssaire pour se sentir sur que personne ne tombera dessus. Et c'est mieux des petites quantité étalées qui vont naturellement faire leur cycle de recyclage que des grosses quantité à un seul endroit. Mais je pense que ces endroits oubliés de l'humain sont nombreux, variés et répandus.
J'avais aussi lu un fascicule des eaux et forets qui expliquait que c'était plus facile pour les écosystèmes d'accueillir des quantité minimes et réparties de "matières" qui entrent dans un cycle normal de compostage, plutôt que l'utilisation des produits chimiques et le fonctionnement des stations d'épuration.